Références : Archivage électronique

  • Etat des lieux de la production numérique

    La DRAC Occitanie a souhaité effectuer un état des lieux complet de sa production numérique afin de définir une politique d'archivage adaptée. Elle a été accompagnée par Olkoa pour mener l'étape initiale d'audit auprès de tous les services métier, selon deux modalités : des ateliers avec les services de la DRAC puis un questionnaire transmis aux UDAP. La mission a été l'occasion de préciser les projets de dématérialisation pilotés par le ministère de la Culture, d'étudier l'avancement des projets d'archivage électronique et l'articulation des futurs versements entre les différents services publics d'archives concernés (ministère de la Culture, Archives départementales).

  • Archivage électronique

    Olkoa a accompagné le GIP Ternum dans la définition de son offre d’archivage au travers de la production d’une matrice RACI, pour l’archivage électronique et l’archivage intermédiaire. L’objectif était de préciser et clarifier le périmètre de responsabilité de chaque acteur (le GIP en tant que Tiers hébergeur, les services d’archives et services informatiques des collectivités adhérentes à Ternum, les communes et établissements publics sur le territoire des Départements adhérents Ternum).

  • Système d’Information Archivistique

    La Grande Chancellerie de la Légion d’Honneur (GCLH) dispose de fonds d’archives importants qui jusqu’à présent n’ont fait l’objet ni d’une numérisation exhaustive ni d’une informatisation poussée. A des fins de conservation comme de consultation, la GCLH a engagé un programme complet pour sauvegarder et rendre accessibles ces fonds, ce qui suppose de réaliser un inventaire exhaustif et harmonisé des fonds, puis de mettre en place un système d’information archivistique offrant un accès unique à l’ensemble des archives. Olkoa a accompagné l’institution dans le recueil des besoins des utilisateurs internes et du public afin d’établir un cahier des charges. La mission a permis également de repérer les gisements actuels et à venir de production nativement numérique au sein des services de la GCLH et qui nécessiteraient un archivage électronique.
  • Audit et stratégie documentaire

    La Haute Autorité de Santé a mis en œuvre un plan de transformation numérique avec la dématérialisation de nombreux processus métier. Constatant que cette dématérialisation s'accompagnait d'une baisse des versements en archive papier, sans augmentation significative des versements électroniques, la HAS a confié à Olkoa une mission d'audit des pratiques documentaires. Cet audit a débouché sur la définition d'une stratégie d'archivage électronique et papier, la rédaction d'un DCE pour le renouvellement de leur SAE, l'accompagnement à la gestion du sort final des archives physiques et l'élaboration d'une démarche pour la mise en œuvre de connecteurs avec le nouveau SAE.

  • Entrepôt de données - Etat des lieux

    L'Institut Pasteur a sollicité Olkoa pour l'accompagner dans sa démarche de certification de son entrepôt de données OWEY. Olkoa a réalisé un diagnostic afin de connaître le niveau de mise en œuvre du modèle OAIS et co-construit, avec l'équipe projet, une feuille de route pour combler les écarts identifiés, en vue de la certification CTS.

  • Dématérialisation et archivage électronique, les incontournables

    Depuis quelques années, la problématique de la dématérialisation se présente de façon de plus en plus pressante dans les collectivités locales, en particulier les conseils généraux et les grandes communes ou agglomérations.

    Plusieurs raisons se combinent pour créer ce mouvement :
    • L’évolution de l’environnement légal et réglementaire : les documents électroniques ont maintenant une valeur équivalente aux documents papier, sous réserve de pouvoir en garantir l’origine et la non modification
    • L’évolution des pratiques administratives : l’État impose la dématérialisation progressive des procédures
    • L’évolution des moyens de communication avec les usagers : ceux-ci attendent de plus en plus la possibilité de déposer des demandes par Internet, d’envoyer des justificatifs en pièces jointes de courriers électroniques, ou de recevoir de même les réponses qu’ils attendent
    • Le même mouvement se produit dans les échanges entre administrations et avec les fournisseurs
    • L’évolution de l’environnement technologique : qu’on le veuille ou non, le travail administratif s’appuie de plus en plus sur des moyens électroniques. Il n’y a pratiquement plus aucun service aux usagers qui ne fait appel à une application, une base de données, et à un ensemble de documents produits par ces applications, c’est-à-dire dont le contenu est extrait de ces bases de données
    • Et de toute façon, l’environnement de travail se transforme profondément et de façon inéluctable grâce à (ou à cause de) la bureautique, du courrier électronique et d’Internet.

    Face à ces évolutions, les collectivités doivent réfléchir à mettre en place de nouvelles organisations, de nouveaux moyens techniques et rassembler de nouvelles compétences. La démarche est parfois réactive, pour tenter d’endiguer et de contrôler le flot grandissant des documents électroniques, parfois proactive, en essayant de profiter de la dématérialisation pour améliorer l’efficacité, la productivité, et le confort du travail administratif.

    Contrainte ou opportunité, réactif ou proactif, comment agir ?

    Dans les deux cas, la question de l’archivage des documents électroniques se pose avec force. C’est d’ailleurs, pour les archivistes, l’opportunité de faire évoluer leur propre rôle ; en effet, toute analyse de cette situation aboutit rapidement à la conclusion que la frontière entre archives courantes, intermédiaires et définitives devient floue, tant d’un point de vue organisationnel que technique. Quel doit alors être le rôle respectif du service producteur, de l’informaticien et de l’archiviste tout au long de la vie du document ? Quel système doit assurer quelle fonction : stockage, maintien de la valeur probante, pérennisation à court, moyen et long terme, circulation, diffusion, indexation et recherche, valorisation du contenu ? Faut-il chercher à éliminer les multiples doublons des documents électroniques, ou au contraire, est- il nécessaire de disposer de diverses copies, dans plusieurs systèmes, pour des usages différents ? Dans ce contexte, le SAE sera-t-il un système de fin de cycle de vie des documents, ou au contraire, peut-il ambitionner de devenir une GED pivot de la collectivité ? Dans quel système faut-il investir en priorité : un SAE, une GED de production, un système collaboratif ? Quel va être l’urbanisme général de l’ensemble de ces outils ?

    Pour répondre à ces questions de façon cohérente, il faut connaître les fonctions et les outils qui interviennent tout au long du cycle de vie du document, depuis la création (bureautique, éditique et création par les logiciels métiers, plateformes de numérisation, courrier électronique entrant), le stockage (sur disques locaux ou en réseau ou dans le « cloud », dans des GED), la circulation (par des moteurs de WorkFlow, par le courrier électronique), jusqu’à l’archivage (dans des SAE, mais aussi dans des systèmes de gestion d’archives physiques).

  • Formation au SEDA 2.1

    Le SEDA ou Standard d'Echange des Données pour l'Archivage est notamment utilisé pour le versement des données dans les Systèmes d'Archivage Electronique. La publication de la version 2.1 a eu des impacts sur les applications versantes et les SAE. Olkoa a donc formé des archivistes et techniciens de Libriciel, éditeur du SAE As@lae, sur cette V2.1 du SEDA en insistant particulièrement sur les changements apportés par cette nouvelle version.

  • Archivage électronique

    La Mairie d'Avignon souhaitait faire évoluer le SI des Archives Municipales afin de prendre en compte la dématérialisation progressive des documents à archiver. La première phase de notre mission a consisté à collecter l'ensemble des besoins de gestion des flux dématérialisés, faire un état de l'art des solutions disponibles, imposées, ou mises en œuvre dans d'autres collectivités et, enfin, définir une vision synthétique des orientations à suivre pour les cinq prochaines années. Une deuxième phase a permis d'accompagner la mise en place de ces orientations.

  • Politique d'archivage de l'application d'e-parapheur

    Le ministère de la Culture dispose d'une plateforme d'archivage intermédiaire basée sur Vitam Accessible en Service. Un parapheur électronique a été déployé au sein de l'administration centrale, des services déconcentrés et des services à compétence nationale. Le ministère de la Culture a souhaité être accompagné pour la définition d’une politique d’archivage électronique des documents en sortie d'e-parapheur. L’objectif de l’étude était de définir les scénarios, prérequis et conditions pour verser dans VAS tout ou partie des éléments constitutifs d’un parapheur (documents signés, annexes, rapport, fichier de preuve).

  • Préparation du versement des données et documents d'une application dans Vitam

    Le ministère de la Transition écologique dispose d'une plateforme d'archivage intermédiaire s'appuyant sur Vitam Accessible en Service (VAS). L'objectif de la mission a été d'effectuer le versement d'un premier SI et de capitaliser sur cette expérience en produisant un mode opératoire. Après avoir analysé le contenu de l'application, différents scénarios de versement ont été identifiés et présentés à l'équipe projet. Le scénario retenu a fait l'objet de spécifications en vue de la fabrication du paquet d'archives à verser (SIP) et de tests de versement.

  • Méthodologie de versement d'une application métier à décommissionner

    L'étude a consisté à expérimenter pour les Ministères sociaux le versement dans Vitam d’une application métier étant à l’étape de décommissionnement, pour laquelle aucun développement supplémentaire ne sera envisagé et aucun mécanisme ne préexistait pour faciliter les versements. L’objectif était double : disposer d’une méthodologie de versement d’une application métier à décommissionner et identifier des évolutions à apporter à Archifiltre pour que l’outil propose des fonctionnalités nouvelles d’enrichissement d’arborescences de fichiers à partir des données d’une application métier avant leur versement.

  • Stratégie d'archivage électronique

    Dans le cadre de son projet de rénovation globale, de sa réorganisation fonctionnelle et dans un contexte de digitalisation, le Département des Systèmes d’informations a engagé une démarche de modernisation et transformation numérique. Le Musée national de la Marine a souhaité être accompagné pour réaliser une étude de cadrage préalable à la définition de sa stratégie d’archivage électronique afin de déterminer notamment le périmètre et les différents scenarii qui s’offrent, aussi bien concernant les types d'outils (GED, SAE…) que l’organisation, en identifiant l’ensemble des prérequis et des impacts sur les plans humain, financier et technique.

  • Elaboration d'une stratégie d'archivage

    Malgré une dématérialisation croissante de ses processus métier, l'OPH05 est confronté à un manque de place pour la conservation de ses archives papier. Il a donc fait appel à Olkoa pour l'assister dans l'élaboration de sa politique d'archivage. Après une phase d'audit des pratiques documentaires, la mission a consisté à définir les outils et les procédures de gestion des archives numériques et physiques. Olkoa a également accompagné l'office dans la définition de sa stratégie de dématérialisation des processus.

  • Archivage électronique

    La métropole et la ville d'Orléans ont souhaité s'appuyer sur l’expertise d’une assistance à maîtrise d’ouvrage afin de déterminer les solutions les plus adaptées à la gestion de leurs archives numériques à l'âge courant, intermédiaire et définitif compte tenu des enjeux liés à la conservation de l’information numérique. L’étude réalisée par Olkoa à partir d'un diagnostic et de scénarios, a décrit les adaptations nécessaires des procédures, compétences, moyens techniques et logiciels (notamment la GED transverse), dans le contexte du SAE mutualisé SAEM-CVL.

  • Archivage électronique

    La Région Occitanie est engagée depuis sa création dans un programme de développement de l’administration électronique à l’origine d’une diminution des versements d’archives papier et d’un accroissement de la production documentaire numérique. Dans ce contexte, Olkoa a accompagné la Région pour lui permettre d’identifier les conditions nécessaires pour mettre en œuvre l’archivage électronique et définir une feuille de route. Cette démarche a notamment permis de :
    - Déterminer les besoins en termes d’archivage pour deux processus métier transversaux identifiés comme prioritaires et pour la production bureautique des services,
    - Produire un socle de référence à partir d’un état de l’art,
    - Prioriser et planifier les actions à mettre en œuvre à travers la production d’une feuille de route,
    - Améliorer l’expertise de la Direction Valorisation Stratégique de l’information dans la gestion de l’information numérique pour répondre aux enjeux juridiques et patrimoniaux.
  • Archivage électronique

    Roannais Agglomération a fait appel à Olkoa pour réaliser une étude de cadrage préalable à la mise en œuvre d’un système d’archivage électronique. Après une phase d'état des lieux de la production documentaire et de diagnostic des priorités d'archivage, la mission a consisté à étudier des scénarios, à proposer un plan de mise en œuvre de l'archivage numérique et à évaluer les ressources nécessaires à la mise en place d'un SAE. 

  • Etude en vue de l'acquisition d'un SAE

    Le Sénat s’est engagé dans une démarche ambitieuse de gouvernance documentaire autour de plusieurs axes : la structuration de la production documentaire dite bureautique, la rédaction d’une politique d’archivage, la cartographie de la production documentaire, un phasage des projets d’archivage à mener et l’acquisition d’un Système d’Archivage Electronique (SAE). Après une première étude qui a permis de préciser le périmètre fonctionnel et les attendus du futur SAE externalisé, la division Archives a fait appel à Olkoa pour l'accompagner dans la rédaction du cahier des charges et le choix de la solution.

  • Documents de référence pour les services Archives

    Afin de répondre aux interrogations des services publics d’archives et de les accompagner dans leurs projets d’archivage électronique, le Service Interministériel des Archives de France (SIAF) souhaitait constituer une bibliothèque de documents de référence. A cet effet, OLKOA a rédigé un ensemble de 6 documents types, parmi lesquels une politique d'archivage, un modèle de convention pour la mutualisation de l'archivage numérique et un CCTP pour le déploiement d'un SAE. Ces documents sont disponibles sur le site du SIAF et doivent être adaptés au contexte de chaque collectivité.

  • Archivage électronique

    Le SIAAP (Syndicat Interdépartemental pour l'Assainissement de l'Agglomération Parisienne) est un établissement public assurant le transport et la dépollution des eaux usées en Ile-de-France. Sa forte production numérique, constituée de documents et données, est conservée sur des serveurs partagés ou dans des applications. Ces moyens ne permettent pas une bonne gestion du risque documentaire et des enjeux opérationnels, juridiques et patrimoniaux liés. Le SIAAP a donc confié à Olkoa une mission de cadrage préalable à la mise en place d'un système d'archivage électronique. La première phase du projet a consisté à réaliser et valider l’étude d’opportunité et de faisabilité. Elle a inclus une analyse du périmètre du projet, un recensement des données existantes, différents scénarios de mise en œuvre et la rédaction d’une charte.

  • Archivage électronique

    L'Université de Lille a souhaité être accompagnée par Olkoa pour réaliser une étude de cadrage afin de déterminer les solutions organisationnelles et techniques les plus adaptées à la gestion de ses archives numériques. Une première phase d'état des lieux a eu pour objectifs de fournir un diagnostic sur la production des données et documents des processus métier les plus avancés dans la dématérialisation, de formaliser le périmètre cible et les priorités de mise en œuvre de l'archivage électronique et d'identifier les actions à mettre en place pour assurer cet archivage, en déterminant les rôles et responsabilités de chacun des acteurs concernés. La seconde phase a consisté à fournir à l’Université de Lille tous les éléments permettant de choisir l’organisation et les moyens cibles pour assurer l'archivage électronique à l’âge intermédiaire, proposer des scénarios et un plan d’actions.